
L’horizon se dégage un peu pour la filiale hydrogène du groupe belge. Elle vient de lever 116 millions d’euros, ce qui correspond aux capitaux dont elle avait besoin pour continuer son activité.
Outre le groupe John Cockerill, la levée de fonds a été suivie par l’État fédéral et de la Région wallonne, à travers la Société fédérale de participations et d’investissement (SFPIM) et Wallonie Entreprendre. On note également la présence du groupe parapétrolier franco-américain SLB et de Rely, une co-entreprise entre le groupe liégeois et la société Technip Energies.
La nouveauté vient de l’arrivée de est Fluxys, avec sa filiale Fluxys Hydrogen. Il s’agit d’un opérateur de transport d’hydrogène en Belgique, équivalent à Terega ou Natran. L’investissement du gestionnaire du réseau gazier se justifie par la mise en place d’un écosystème et d’une chaîne de valeur de l’hydrogène allant de la production à sa distribution.
C’est le soulagement en Belgique, mais aussi en France où le groupe dispose d’une usine d’électrolyseurs à Aspach, en région Grand Est.
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