Hydrogène vert : John Cockerill renforce ses liens avec l’IRT M2P

Hydrogène vert : John Cockerill renforce ses liens avec l’IRT M2P

Le fabricant d’électrolyseurs a signé une convention avec l’Institut de Recherche Technologique Matériaux, Métallurgie et Procédés (IRT M2P) de Metz. Ce dernier va utiliser des bancs d’essais pour aider à développer de nouveaux composants.

L’IRT M2P est un institut réputé, dont l’expertise se situe autour des matériaux composites, des traitements thermiques et thermo-chimiques ainsi que pour les outils de simulation numérique. Depuis plusieurs années, il collabore avec John Cockerill, notamment à travers des recherches sur les équipements et composants. Le partenariat a été renforcé avec la signature d’une convention officialisant la mise en service à Metz de deux bancs d’essai d’électrolyse.

Développer l’électrolyseur du futur

Ils sont destinés à tester les électrolyseurs du futur dans le cadre du projet européen IPCEI Hy2Tech. Le cœur du projet porte sur la recherche et l’innovation dédiées à la conception d’un électrolyseur alcalin de 5 MW, 1000 Nm³/h à 30 bar et sur l’industrialisation de sa fabrication à grande échelle en Belgique et en France.

La convention a été signée par Nicolas de Coignac (Chief Executive Officer, John Cockerill Hydrogen), Maïté Basurto Rivas (Chief Technology Officer, John Cockerill Hydrogen), Stéphane Poinsot (Directeur général, IRT M2P) et Pascal Lamesle (Directeur Scientifique et Technique, IRT M2P),

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à propos de l'auteur

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Laurent Meillaud

Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, suivant les évolutions technologiques, je m'intéresse aussi aux énergies alternatives, dont l'hydrogène que je suis depuis 20 ans. J'ai co-écrit un ouvrage à ce sujet en 2007 avec Pierre Beuzit, ancien patron de la R&D chez Renault. Je collabore également depuis 2016 à la newsletter de France Hydrogène.

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