Madrid veut aussi ses taxis à l’hydrogène

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Madrid veut aussi ses taxis à l’hydrogène

Après Paris… Madrid ! La principale fédération professionnelle de taxis de Madrid, la FPTM, souhaite convertir au moins 1 000 véhicules à la pile à combustible dans la capitale espagnole d’ici 2026. Avec l’aide de partenaires, elle appelle à un investissement de 100 millions d’euros pour financer l’acquisition de véhicules et la construction de stations à hydrogène. L’idée est de proposer du « taxi as a service », sur le modèle de ce que fait Hysetco à Paris avec Hype.

Et cela ne surprendra personne : c’est sur Toyota que le choix s’est porté. C’est la Mirai qui viendra purifier l’air de Madrid à partir de 2022. En dehors de Toyota Espagne, la FPTM a décidé de s’allier avec Madrileña Red de Gas (opérateur de gaz naturel), Fotowatio Renewable Ventures (FRV), le Groupe Ruiz (transport de passagers) et la firme de consulting PwC. C’est Madrileña Red de Gas et FRV qui se chargeront de déployer les stations et de les alimenter en hydrogène renouvelable. Il est question d’un électrolyseur de 10 MW, dont le courant électrique serait fourni par une ferme solaire de 20 MW, ces équipements étant financés par la communauté urbaine de Madrid.

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à propos de l'auteur

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Laurent Meillaud

Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, suivant les évolutions technologiques, je m'intéresse aussi aux énergies alternatives, dont l'hydrogène que je suis depuis 20 ans. J'ai co-écrit un ouvrage à ce sujet en 2007 avec Pierre Beuzit, ancien patron de la R&D chez Renault. Je collabore également depuis 2016 à la newsletter de France Hydrogène.

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