Suite à la signature d’un nouveau contrat pour la période 2024-2027, entre les pouvoirs publics et la filière automobile, le fabricant de stations salue les premières ambitions pour la mobilité hydrogène.

Nous vous avions déjà détaillé ce contrat de filière qui, au-delà des ambitions réaffirmées pour la voiture électrique, fait également une place pour l’hydrogène. Cela n’a pas échappé à Atawey qui, « en tant qu’acteur de référence de la mobilité hydrogène », « salue cette ambition qui ouvre de nouvelles perspectives pour une transition technologique plus rapide et plus complète ».

Pour le Président de la société, Jean-Michel Amaré, trois points sont à retenir. D’abord, « l’hydrogène fait partie de la solution pour une mobilité plus durable et plus respectueuse de l’environnement, axée sur l’innovation, la compétitivité et la création de valeur ». Ensuite, « il existe un consensus entre les constructeurs automobiles sur la pertinence des technologies électriques pour décarboner les flottes de véhicules : l’hydrogène et la batterie ». A ce propos, le dirigeant souligne que « l’hydrogène est reconnu comme particulièrement pertinent pour les VUL et la mobilité lourde ». Il se réfère ensuite au récent manifeste de l’ACEA pour rappeler que « les constructeurs automobiles européens estiment qu’il faudra d’ici 2030, au moins 2000 stations de grande capacité pour répondre aux besoins de ces flottes de véhicules ».

Enfin, il constate que « l’état français s’engage à soutenir dans la durée le développement de la mobilité décarbonée grâce à des dispositifs de financements pour stimuler la demande d’achat des véhicules et faciliter le déploiement des infrastructures ».

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