COP28 : la vision d’Engie

COP28 Engie
COP28 : la vision d’Engie

Alors que la conférence sur le climat débute aujourd’hui à Dubaï, et jusqu’au 12 décembre, l’énergéticien publie sur son site un dossier. Voici les solutions qu’Engie va défendre à la COP28.

En tant qu’acteur global de l’énergie, avec une expertise dans l’électricité et le gaz, les infrastructures et les actifs de flexibilité, le groupe veut démontrer que « les solutions à l’urgence climatique sont éprouvées et à notre portée ». Dans une interview, Julia Maris, Directrice RSE du Groupe, rappelle que l’ambition est d’être Net Zéro Carbone en 2045. Pour cela, Engie s’appuie sur 4 leviers : la fin du charbon, le développement massif des énergies renouvelables (80 GW de capacités d’ici 2030, soit 58 % du mix énergétique), le développement du gaz renouvelable dont l’hydrogène (4 GW d’hydrogène bas carbone d’ici 2030) et le stockage par batterie (10 GW d’ici 2030).

Dans cet entretien, Mme Maris souligne que le groupe croit à l’alliance de l’électron et de la molécule.

S’agissant de l’hydrogène, on peut lire ici ce que fait le groupe dans ce domaine, avec un panorama des projets en France et en Europe. L’ambition est de doubler la production d’hydrogène pour atteindre 180 millions de tonnes par an.

La patronne d’Engie, Catherine McGregor, fait partie des 60 dirigeants de grandes entreprises françaises des secteurs de l’énergie, des transports ou du BTP qui ont lancé un appel à « accélérer les investissements » dans la transition écologique, dans une tribune publiée par La Tribune Dimanche.

Vous voulez en savoir plus sur Engie et son engagement dans l’hydrogène ? Alors nos derniers articles sur l’énergéticien devraient vous intéresser. Vous pouvez accéder à tous nos articles écrits sur Engie ici.

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à propos de l'auteur

Laurent Meillaud

Laurent Meillaud

Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, suivant les évolutions technologiques, je m'intéresse aussi aux énergies alternatives, dont l'hydrogène que je suis depuis 20 ans. J'ai co-écrit un ouvrage à ce sujet en 2007 avec Pierre Beuzit, ancien patron de la R&D chez Renault. Je collabore également depuis 2016 à la newsletter de France Hydrogène.

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