Dans un communiqué, la start-up annonce des discussions avancées avec un groupe asiatique de dimension internationale, en vue d’un partenariat industriel et capitalistique. Il s’agit d’un Chinois qui pourrait aider Hopium à financer sa première usine-pilote.
Lors du salon GITEX de Dubaï, la jeune entreprise a reçu des marques d’intérêts fortes de la part d’acteurs majeurs de la région, « opérant sur des marchés plus matures que le marché européen en matière d’hydrogène ». L’un d’eux est donc un groupe chinois, qui pourrait potentiellement proposer un partenariat industriel et capitalistique.
La Chine, qui est déjà le plus grand producteur et consommateur d’hydrogène au monde, a aussi de grandes ambitions dans la mobilité. Pékin s’est fixé pour objectif de mettre en circulation 50 000 véhicules à pile à hydrogène d’ici 2025 et de construire un certain nombre de stations de ravitaillement en hydrogène.
Pour le moment, il ne s’agit encore que de discussions en cours. Mais c’est sans doute pour Hopium une planche de salut. La start-up pourrait ainsi finaliser le développement de son système de pile à hydrogène jusqu’au niveau TRL9. Si ce partenaire met au pot, en prenant le relais d’Atlas Special Opportunities, Hopium pourrait assainir sa situation financière et se doter d’une première usine pilote. Et au-delà de l’aspect financier, la société pourrait ainsi accéder à des marchés dynamiques et à fort potentiel.
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