Le CHU de Grenoble cherche des bénévoles pour tester l’hydrogène face au Covid
Au mois de février, une équipe de médecins et de chercheurs du CHU de Grenoble-Alpes a lancé une étude clinique d’impact de l’hydrogène sur le coronavirus dès le mois de février. Elle a pour HydroCOVID. Elle est destinée à valider un traitement par un complément alimentaire pour réduire le risque de complications à court et long terme chez des patients pris en charge à domicile pour la Covid-19. C’est un traitement à l’étude qui fait appel à de l’hydrogène sous une forme dissoute dans l’eau.
Par son rôle anti-oxydant puissant, l’hydrogène moléculaire pourrait avoir un effet bénéfique pour éviter l’emballement des réactions inflammatoires qui conduit aux complications de la Covid-19.
Dans un premier temps, le CHU de Grenoble a lancé un appel à volontaires, s’adressant aux personnes d’au moins 60 ans, présentant un début d’infection au Covid, et pouvant rester à la maison. Mais, il n’y a pas assez de monde. D’une part, l’équipe manque de bénévoles volontaires (ils ne sont que 35 à l’heure actuelle alors qu’il en faudrait… 450) et a surtout besoin, face à l’apparition des nouveaux variants, de profils différents. Ainsi, l’âge est abaissé à 40 ans. L’étude concerne désormais des patients infectés, y compris avec des comorbidités, et le périmètre géographique a été élargi.
Les modalités en revanche resteront les mêmes : une cure de vingt et un jours. Les volontaires devront boire chaque jour deux fois 250 ml d’eau enrichie en hydrogène.
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