Alors que le projet de loi sur la réforme ferroviaire comportait initialement 8 articles, la version adoptée le 17 avril en première lecture à l’Assemblée Nationale en comporte deux de plus. La filière hydrogène a notamment repéré l’Article 10. Celui-ci stipule que : « Le Gouvernement remet au Parlement, dans un délai de cinq mois à compter de la promulgation de la présente loi, un rapport évaluant les coûts de mise en œuvre d’un plan national d’investissement visant à diminuer les émissions de carbone du secteur du transport ferroviaire par le remplacement total des locomotives diesel par d’autres motorisations à faible émission d’ici 2040 ».
Difficile de ne pas y voir une allusion au train à hydrogène, porté notamment par Alstom et qui est aussi considéré par d’autres acteurs à travers le monde.