Un sabre laser de Star Wars qui marche à l’hydrogène !

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Un sabre laser de Star Wars qui marche à l’hydrogène !

George Lucas ne l’avait sans doute pas prévu : un fan russe de Star Wars a fabriqué un véritable sabre laser, homologué par le livre Guinness des records. Son arme utilise un électrolyseur pour générer grâce à l’hydrogène un plasma atteignant une température de 2 800 degrés.

L’histoire remonte à 2022, mais elle est remise au goût du jour par un post sur LinkedIn d’Air Liquide*. Il est expliqué que la présence d’un électrolyseur dans la poignée du sabre laser permet de générer de l’hydrogène et d’atteindre une température très élevée. Ce n’est pas vraiment un laser, relève le groupe français. Mais, il souligne que l’hydrogène permet de recréer sur terre une épée dans le style de Star Wars, alors que celle-ci est censée utiliser des cristaux provenant d’autres planètes.

Air Liquide n’entend pas pour autant se lancer dans ce business interstellaire. Son ambition est de faire de l’hydrogène bas carbone.

Pour en revenir à Alex Burkan, le russe qui a fait homologuer la première épée laser rétractable, il explique tout à travers une vidéo en anglais sur youtube. Il indique par ailleurs sur le site du Guinness qu’il utilise un électrolyseur sur sa moto pour en booster les performances. Et il travaille sur d’autres projets. La force doit être avec lui.

*Depuis 1979, le 4 mai est connu comme la journée mondiale de Star Wars (Star Wars Day). Et ce n’est pas un hasard. En anglais, la phrase culte « Que la Force soit avec toi » se traduit par « May the force be with you ». Vous remarquerez la similitude phonétique avec la parodie « May the 4th be with you ».

Vous voulez en savoir plus sur Air Liquide et l’hydrogène ? Tous nos articles écrits sur le groupe français sont accessible ici.

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à propos de l'auteur

Laurent Meillaud

Laurent Meillaud

Journaliste automobile depuis plus de 30 ans, suivant les évolutions technologiques, je m'intéresse aussi aux énergies alternatives, dont l'hydrogène que je suis depuis 20 ans. J'ai co-écrit un ouvrage à ce sujet en 2007 avec Pierre Beuzit, ancien patron de la R&D chez Renault. Je collabore également depuis 2016 à la newsletter de France Hydrogène.

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