Société d’origine suisse, GreenGT fait office de pionnière de l’hydrogène. Elle s’est faite un nom en compétition, dans le cadre notamment des 24 H du Mans. Mais, il y a aussi les camions et bien d’autres projets. C’est ce que nous raconte en exclusivité Jean-François Weber, le PDG de GreenGT.

Cet été, il y a eu une réorganisation au sein de GreenGT. Elle était passée un peu inaperçue, mais nous en avons fait un article quand l’Automobile Club de l’Ouest a annoncé, dans un communiqué, que la branche française devenait indépendante et s’appelait désormais H24 Project. Désormais, GreenGT n’a plus d’antenne française. Cet épisode est abordé dans notre talk vidéo. Jean-François Weber s’exprime sur le sujet, après avoir rappelé en préambule que l’expertise de la société est visible depuis 10 ans sur ce sujet de la voiture à hydrogène en endurance.

La compétition automobile, il en est question dans notre entretien exclusif. GreenGT va sortir une nouvelle pile. Et puis, cet acteur suisse va continuer à s’investir dans le camion. Dans notre entretien sans complaisance (pas le genre de la maison), mais réalisé avec bienveillance et respect, Jean-François Weber évoque aussi sans détour… la guerre en Ukraine. Le conflit a en effet eu un impact sur la collaboration technique avec le russe Kamaz, qui devait fournir un châssis.

Sur circuit, sur la route et même sur l’eau (avec SeaBubbles), GreenGT contribue à une mobilité décarbonée. Et ce ne sont pas les projets qui manquent. On vous invite donc à visionner cet entretien. Vous pouvez accéder à l’interview de Jean-François Weber ici.

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